Les effets du rire au niveau physique sont très nombreux. Ceux-ci sont ceux que nous voyons directement chez un individu.
Les effets que nous allons évoquer sont ceux dont on peut prendre conscience, si l'on le veut.
Il faut savoir que lorsque nous rions, que plus de 400 muscles sont mis en action, rien que sa ! Bien entendu, certains sont contractés et d'autres relâchés.
Et ce partout dans le corps ! Il s'agit d'un véritable "jogging stationnaire", comme disait le Dr.Rubinstein.
Les effets que nous allons évoquer sont ceux dont on peut prendre conscience, si l'on le veut.
Il faut savoir que lorsque nous rions, que plus de 400 muscles sont mis en action, rien que sa ! Bien entendu, certains sont contractés et d'autres relâchés.
Et ce partout dans le corps ! Il s'agit d'un véritable "jogging stationnaire", comme disait le Dr.Rubinstein.
Rien que dans le visage, plus de 15 muscles sont sollicités. Ici, nous ne citerons que les 9 principaux.
Tout d'abord nous pouvons citer la contraction des petits et grands zygomatiques.Ces 2 muscles sont les principaux permettant au rieur d'avoir le sourire. Ils se situent au niveau des joues et arrivent jusqu'aux commissures des lèvres (sur les bords d'ouvertures, à gauche et à droite) pour les grands zygomatiques et au 1/3 des lèvres supérieures pour les petits zygomatiques. Ceux-ci vont permettre de faire monter la lèvre supérieure vers le haut et l'extérieur ainsi que vers l'arrière grâce à leur contraction. Essayez de sourire et vous verrez que ce mécanisme est réel ! Inutile d'essayer de ne pas relever votre lèvre supérieure vers l'extérieur ou le haut. Votre sourire ne sera pas aussi éclatant, bien au contraire !
Sur la partie inférieure du visage, ce sont le muscle orbiculaire de la bouche, le muscle abaisseur de la lèvre inférieure, muscle abaisseur de l'angle de la bouche ainsi que le buccinateur qui agissent. Le premier est l'un des principaux constituants des lèvres, il permet à la bouche de se fermer et de s'ouvrir sous l'action des zygomatiques. Lorsque l'on rit, ce muscle se contracte également. Quant au muscle abaisseur de la lèvre inférieure, qui se trouve sur la partie latérale du menton, se contracte et permet à la lèvre inférieure de se baisser. Et le muscle abaisseur de l'angle de la bouche est celui qui agit de façon que l'on ai une bouche qui va être peu ouverte. Ce muscle agit comme le grand zygomatique : sur les commissures des lèvres. Le buccinateur, un muscle de la joue, se contracte également.
Sur la partie supérieure du visage, ce sont le muscle releveur de l'angle de la bouche, le muscle élévateur de la lèvre supérieure ainsi que le muscle-occipito frontal qui sont mis en action. Ce premier agit de la même façon que le muscle abaisseur de l'angle de la bouche mais qui va permettre d'avoir une bouche plus grande ouverte cette fois-ci. Il se situe en dessus de nos canines, mais légèrement en décalé, d'où son autre nom de muscle canin. Le second muscle permet à la lèvre de se lever. Ce muscle longe les ailes du nez. Quant au dernier, celui-ci se trouve sur le crâne et va jusqu'aux sourcils. Dans le cas du rire, ce muscle est sollicité au niveau du front et des sourcils avec un haussement de ceux-ci et un plissement en haut du nez.
Tout d'abord nous pouvons citer la contraction des petits et grands zygomatiques.Ces 2 muscles sont les principaux permettant au rieur d'avoir le sourire. Ils se situent au niveau des joues et arrivent jusqu'aux commissures des lèvres (sur les bords d'ouvertures, à gauche et à droite) pour les grands zygomatiques et au 1/3 des lèvres supérieures pour les petits zygomatiques. Ceux-ci vont permettre de faire monter la lèvre supérieure vers le haut et l'extérieur ainsi que vers l'arrière grâce à leur contraction. Essayez de sourire et vous verrez que ce mécanisme est réel ! Inutile d'essayer de ne pas relever votre lèvre supérieure vers l'extérieur ou le haut. Votre sourire ne sera pas aussi éclatant, bien au contraire !
Sur la partie inférieure du visage, ce sont le muscle orbiculaire de la bouche, le muscle abaisseur de la lèvre inférieure, muscle abaisseur de l'angle de la bouche ainsi que le buccinateur qui agissent. Le premier est l'un des principaux constituants des lèvres, il permet à la bouche de se fermer et de s'ouvrir sous l'action des zygomatiques. Lorsque l'on rit, ce muscle se contracte également. Quant au muscle abaisseur de la lèvre inférieure, qui se trouve sur la partie latérale du menton, se contracte et permet à la lèvre inférieure de se baisser. Et le muscle abaisseur de l'angle de la bouche est celui qui agit de façon que l'on ai une bouche qui va être peu ouverte. Ce muscle agit comme le grand zygomatique : sur les commissures des lèvres. Le buccinateur, un muscle de la joue, se contracte également.
Sur la partie supérieure du visage, ce sont le muscle releveur de l'angle de la bouche, le muscle élévateur de la lèvre supérieure ainsi que le muscle-occipito frontal qui sont mis en action. Ce premier agit de la même façon que le muscle abaisseur de l'angle de la bouche mais qui va permettre d'avoir une bouche plus grande ouverte cette fois-ci. Il se situe en dessus de nos canines, mais légèrement en décalé, d'où son autre nom de muscle canin. Le second muscle permet à la lèvre de se lever. Ce muscle longe les ailes du nez. Quant au dernier, celui-ci se trouve sur le crâne et va jusqu'aux sourcils. Dans le cas du rire, ce muscle est sollicité au niveau du front et des sourcils avec un haussement de ceux-ci et un plissement en haut du nez.
Après le visage, nous pouvons parler du cou. En effet, lorsque nous riions, un ensemble de muscles est très sollicité, ce sont ceux du larynx. Ceux-ci ont pour une partie la fonction de modifier nos vocalises. Ici, nous allons nous intéresser aux muscles tenseurs, responsables des différentes vocalises qui sont différentes si les cordes vocales (4), à l'intérieur du cartilage thyroïde. Ainsi, le muscle crico-thyroidien (14) a la particularité, en se contractant de tendre les cordes vocales, en faisant basculer le cartilage thyroïde vers l'avant, de faire élever la tonalité de la voix.Les muscles thyro-aryténoïdiens, qui se trouvent sous le cartilage thyroïde, quant à eux ont l'action de relâcher les cordes vocales.
Donc, nous avons pu voir, qu'un certains nombres de muscles ont été sollicités. Ceux-ci sont responsables du fait que certaines personnes aient un rire plutôt grave ou aiguë, ou qu'ils rient en "ohohohoh", "ahahahahah" ou "hihihihi".
Donc, nous avons pu voir, qu'un certains nombres de muscles ont été sollicités. Ceux-ci sont responsables du fait que certaines personnes aient un rire plutôt grave ou aiguë, ou qu'ils rient en "ohohohoh", "ahahahahah" ou "hihihihi".
Désormais, nous allons parler du rire lorsque qu'il a pour effet de remuer le diaphragme et qui va relâcher les muscles des cuisses.
Le premier muscle évoqué est celui qui provoque le plus d'effets. En effet, ce muscle squelettique, qui va remuer de haut en bas, se relaxer lorsque nous riions a pour conséquences une contraction des abdominaux, un remuement des viscères se situant à l'intérieur de l'abdomen (foie, estomac..). Et celui-ci est également à l'origine de l'expulsion de l'air en dehors de nos poumons et faisant ainsi vibrer nos cordes vocales.
Le premier muscle évoqué est celui qui provoque le plus d'effets. En effet, ce muscle squelettique, qui va remuer de haut en bas, se relaxer lorsque nous riions a pour conséquences une contraction des abdominaux, un remuement des viscères se situant à l'intérieur de l'abdomen (foie, estomac..). Et celui-ci est également à l'origine de l'expulsion de l'air en dehors de nos poumons et faisant ainsi vibrer nos cordes vocales.