Comment se déclenche-t-il ?
Il faut savoir que le rire se déclenche suite à un stimulus. Ces stimuli peuvent être de différentes formes, et seront traités différemment dans des parties spécifiques du cerveau. Ces stimuli sont, pour la plupart, liés à nos différents sens.
Le rire peut se déclencher d'une part ,par un facteur physique, notamment le chatouillement. Celui-ci est le fait de chatouiller quelqu'un qui consiste à effleurer ou être en contact avec sa peau. Cette action excite les glandes exocrines situées dans les zones du corps les moins sollicitées. Voilà pourquoi certaines zones sont beaucoup plus sensibles que d'autres telles que les côtes, les aisselles, la nuque, les pieds. Lorsque nous sommes chatouillés et réagissons, c'est parce que nous sommes sensibles au sens qu'est le touché. Dans le cas du chatouillement, il s'agit sensibilité cutanée. Celle-ci répond à trois qualités : la pression, le toucher et la vibration. Ces qualités sont les mêmes pour provoquer le chatouillement. Cette sensibilité cutanée n'est possible uniquement par le biais de mécano-récepteurs. Pour provoquer les "guilis", deux mécano-récepteurs agissent principalement. Il s'agit des corpuscules de Meissner placés sous l'épiderme, agissant quand le toucher est sensible (une plume, faible pression avec les doigts) et des corpuscules de Pacini, placés vers la base du derme, étant stimulés lorsque le toucher est plus fort, lorsque l'on réalise une plus forte pression.
Ainsi, un message nerveux parvient au cerveau et est traité dans le cortex somatosensoriel. Celui-ci se trouve dans le lobe pariétal (voir image "Dessin représentant les différents lobes du cerveau" ci-dessous). C'est alors qu'un autre mécanisme prend forme , permettant la manifestation du rire. C'est celui que nous évoquerons dans cette partie.
Il faut savoir que le rire se déclenche suite à un stimulus. Ces stimuli peuvent être de différentes formes, et seront traités différemment dans des parties spécifiques du cerveau. Ces stimuli sont, pour la plupart, liés à nos différents sens.
Le rire peut se déclencher d'une part ,par un facteur physique, notamment le chatouillement. Celui-ci est le fait de chatouiller quelqu'un qui consiste à effleurer ou être en contact avec sa peau. Cette action excite les glandes exocrines situées dans les zones du corps les moins sollicitées. Voilà pourquoi certaines zones sont beaucoup plus sensibles que d'autres telles que les côtes, les aisselles, la nuque, les pieds. Lorsque nous sommes chatouillés et réagissons, c'est parce que nous sommes sensibles au sens qu'est le touché. Dans le cas du chatouillement, il s'agit sensibilité cutanée. Celle-ci répond à trois qualités : la pression, le toucher et la vibration. Ces qualités sont les mêmes pour provoquer le chatouillement. Cette sensibilité cutanée n'est possible uniquement par le biais de mécano-récepteurs. Pour provoquer les "guilis", deux mécano-récepteurs agissent principalement. Il s'agit des corpuscules de Meissner placés sous l'épiderme, agissant quand le toucher est sensible (une plume, faible pression avec les doigts) et des corpuscules de Pacini, placés vers la base du derme, étant stimulés lorsque le toucher est plus fort, lorsque l'on réalise une plus forte pression.
Ainsi, un message nerveux parvient au cerveau et est traité dans le cortex somatosensoriel. Celui-ci se trouve dans le lobe pariétal (voir image "Dessin représentant les différents lobes du cerveau" ci-dessous). C'est alors qu'un autre mécanisme prend forme , permettant la manifestation du rire. C'est celui que nous évoquerons dans cette partie.
* Mais qu'est-ce qu'un message ou influx nerveux ?
Il s'agit d'informations réceptionnées au niveau de certains récepteurs du système nerveux périphérique (SNP) et qui atteignent le système nerveux central (SNC) par le biais de synapses. Ces informations atteignent le cerveau du SNC par la moelle épinière qui a pour rôle de transporter l'influx après l'avoir reçu par le biais des nerfs sensitifs. Ici, le message est envoyé par le biais de synapses chimiques dont nous expliquerons le fonctionnement ici. Ainsi, les chatouillements provoquent le rire, comme un effet réflexe suite à un toucher étranger.
Cependant, nous pourrions nous poser une question :Pourquoi ne riions pas lorsque nous nous chatouillons ?
Pour le savoir, des chercheurs de l'Institut de Neurologie de Londres ont mis en place une expérience entre un robot "chatouilleur" et une personne chatouillée. On s'explique : quand la personne se fait chatouiller par surprise par le robot, elle rigole à cause de l'effet réflexe. Mais lorsque la personne demande au robot de la chatouiller, la personne ne réagit pas. Les chercheurs ont observé que le cervelet entrait en action. Ainsi, ils ont pu en déduire que le cervelet dirait au cerveau de ne pas réagir, de rester calme : aucun des mécanismes évoqués précédemment sont mis en action. Mais si on nous chatouille par surprise, le cervelet n'a pas le temps de réagir, ainsi le mécanisme précédent est mis en action.
Il s'agit d'informations réceptionnées au niveau de certains récepteurs du système nerveux périphérique (SNP) et qui atteignent le système nerveux central (SNC) par le biais de synapses. Ces informations atteignent le cerveau du SNC par la moelle épinière qui a pour rôle de transporter l'influx après l'avoir reçu par le biais des nerfs sensitifs. Ici, le message est envoyé par le biais de synapses chimiques dont nous expliquerons le fonctionnement ici. Ainsi, les chatouillements provoquent le rire, comme un effet réflexe suite à un toucher étranger.
Cependant, nous pourrions nous poser une question :Pourquoi ne riions pas lorsque nous nous chatouillons ?
Pour le savoir, des chercheurs de l'Institut de Neurologie de Londres ont mis en place une expérience entre un robot "chatouilleur" et une personne chatouillée. On s'explique : quand la personne se fait chatouiller par surprise par le robot, elle rigole à cause de l'effet réflexe. Mais lorsque la personne demande au robot de la chatouiller, la personne ne réagit pas. Les chercheurs ont observé que le cervelet entrait en action. Ainsi, ils ont pu en déduire que le cervelet dirait au cerveau de ne pas réagir, de rester calme : aucun des mécanismes évoqués précédemment sont mis en action. Mais si on nous chatouille par surprise, le cervelet n'a pas le temps de réagir, ainsi le mécanisme précédent est mis en action.
1111111 11111111228742525122351123355142122522121014752745&&dcxdbghfrv,jjkll D'autre part, le rire peut aussi se déclencher par le biais de facteurs psychiques qui agissent sur certains sens et sur certains endroits de notre cerveau. En effet, le cortex cérébral est composé de quatre lobes ayant tous des fonctions bien précises qui leur sont assimilées. Ainsi, le lobe frontal permet de délivrer la parole, le langage et des prises de décision ; le lobe pariétal, quant à lui, engendre la lecture et le repérage dans l'espace ainsi que la sensibilité comme nous l'avons vu avec les chatouillements ; le lobe occipital a pour fonction de donner la vision à l'individu ; et pour finir, le lobe temporal qui permet le langage , la mémoire, les émotions la vision ou encore l’audition. Celui-ci est le lobe le plus important pour permettre à l'individu de rire. Par conséquent, le fait d'entendre certaines voix incitent le rire à se manifester, d'où des sortes de chaîne de rire dont un exemple est dans la vidéo ci-dessous. On s'explique : on voit quelqu'un rire, nous riions, quelqu'un nous voit rire et rit également, et ce entre tout un tas d'individus. Dans ce genre de cas, deux de nos principaux sens agissent : la vue et l’ouïe.
* Pour ce qui est de l’ouïe, le fonctionnement est le même que précédemment mais il n'y a pas l'action de mécano-récepteurs mais celle de récepteurs auditifs tels que le tympan. Un message nerveux est alors envoyé vers le cortex auditif se trouvant dans le lobe temporal.
* Pour ce qui est de la vision, ce sont les photorécepteurs qui agissent. plus précisément les photorécepteurs rétiniens. L'information est ensuite transmise au cortex visuel primaire, se trouvant dans le lobe temporal.
Ainsi, ces deux derniers stimuli sont à l'origine de différentes façons de rire, des sortes de stimulus dérivés de ces deux derniers.
Nous pouvons ainsi citer :
* les blagues, qui une fois traitées dans le lobe pariétal vont nous faire rire.
* la moquerie peut être visuelle ou auditive. On se moque d'une maladresse, mais aussi du physique de quelqu'un par exemple.
Nous pouvons dire que de nombreux stimuli sont liés à des facteurs olfactifs tels que certaines drogues. Il s'agit de tous les produits, de toutes les substances pouvant créer une dépendance chez l'homme. Les drogues peuvent être l'alcool, certains gaz, et certaines substances.
En effet, après consommé une drogue, celle-ci atteint très rapidement le cerveau par la circulation sanguine. Elle modifie alors les membranes des neurones, celles-ci sont alors moins réactives et l'organisme comble ceci en stimulant plus de neurotransmetteurs. La drogue a ainsi la particularité de pouvoir influencer sur la libération et la capture de certains neurotransmetteurs que nous évoquerons ici.
Le protoxyde d'azote est un gaz ayant la particularité de pouvoir provoquer le rire d'où on surnomme de "gaz hilarant".
Le protoxyde d'azote a été découvert en 1772 par Joseph Priestley. Le protoxyde d'azote est préparé par décomposition du nitrate d'ammonium fondu entre 250 °C et 260 °C.
Voici la réaction qui se produit : NH4NO3 → N2O + 2 H2O. Le N2O correspond au dioxyde d'azote.
Ce gaz exerce un effet antalgique (apaise la douleur) et potentialise (augmente) l'effet des médicaments anesthésiques administrés en même temps.
Une personne s'inhalant de gaz hilarant. Il aspire durant quelques secondes de protoxyde d'azote à l'aide d'un ballon de baudruche puis rigole durant quelques dizaines de secondes sans pouvoir s'arrêter.